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Montauban fait son cinéma
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Sa situation géographique

Montauban est une commune française, chef-lieu du département de Tarn-et-Garonne en région Midi-Pyrénées.
Montauban est la commune la plus peuplée de Tarn-et-Garonne et la deuxième plus peuplée de Midi-Pyrénées, après Toulouse. Au dernier recensement de 2012, la commune comptait 56 887 habitants, appelés les Montalbanais. En 2011, l'unité urbaine comptait 73 643 habitants et l'aire urbaine 104 534 habitants.
La commune est connue pour être le berceau de Jean-Auguste-Dominique Ingres, l'un des plus grands peintres du XIXe siècle, la ville est surnommée "la Cité d'Ingres" et du sculpteur Antoine Bourdelle, mais aussi pour l'épisode historique qui y eut lieu, "les 400 coups" lors du siège de la ville par Louis XIII en 1621.
Source : Wikipédia

Histoire de la ville

Le site de Montauban : Le site de fondation initiale de la ville est délimité sur 3 côtés par des cours d'eau : le Tarn à l'ouest, le Tescou au sud-ouest (jusqu'au confluent avec le Tarn) et le ruisseau de la Garrigue (la Mandoune) au nord-est (jusqu'au confluent avec cette même rivière). Au sud, sur une hauteur surplombant le Tescou, se dressait depuis le IXe siècle l'abbaye de Montauriol, affiliée à l'ordre bénédictin sous le nom initial de Saint Martin, puis de Saint Théodard (Sanctus Audardus) depuis la fin du Xe siècle. De cette époque, date le premier noyau de peuplement autour de l'abbaye (village de Montauriol : Mons Aureolus).
Origines médiévales : En octobre 1144, le comte de Toulouse, Alphonse Jourdain, fonde Montauban, souvent considérée comme une des premières bastides mais à tort. La cité, comme les bastides qui suivront, est tracée selon un plan orthogonal avec une place centrale affectée au commerce, et une place annexe pour l'Église. La petite ville neuve croît de façon spectaculaire, et l'ancien évêque de Cahors Jacques Dueze, devenu le pape Jean XXII, fonde l'évêché de Montauban en 1317, émancipant définitivement la ville de l'espace d'influence de l'abbaye de Moissac. Sont édifiés l'église Saint Jacques au XIIIe siècle puis le pont-vieux au début du XIVe siècle. Ce dernier est équipé de deux tours de défense à ses extrémités et d'une chapelle en son centre.
Lors de la guerre de Cent Ans la ville passe pour quelques années aux mains des Anglais. Le Prince de Galles, Édouard de Woodstock, dit aussi le Prince Noir, fait édifier un château au bord des rives du Tarn. La grande épidémie de peste de 1348, la guerre de cent ans et le petit âge glaciaire portent un grave coup au développement de la France. Montauban n'est pas épargnée.
En mai 1472, par ses lettres patentes, le roi Louis XI confirma les privilèges de la ville, à la suite de la mort du duc de Guyenne, son frère.
Montauban et la Réforme : Dans les années 1530 et suivantes, la population de Montauban se convertit au protestantisme, pour devenir entièrement huguenote au début des guerres de religion. En 1559, la messe pour la mort d’Henri II n’est dite qu’au bout de 8 mois. En janvier 1561, le culte protestant est public ; au mois d’août, les moines catholiques sont dans l’impossibilité de prêcher. L’évêque est chassé, et tous les consuls de la ville sont protestants.
En 1562, lors de la première guerre de religion, Montauban résiste à 3 tentatives de siège de Montluc. Les églises ne sont rendues aux Catholiques, en 1563, que sous la menace. Aussi, quand Charles IX fait son tour de France royal (1564-1566), accompagné de la Cour et des Grands du royaume – son frère le duc d’Anjou, Henri de Navarre, les cardinaux de Bourbon et de Lorraine –, il est exigé que les Montalbanais rasent leurs fortifications pour accueillir le roi. Après négociations, c’est accepté, et le roi fait son entrée le 20 mars 1565. Il est accueilli dans la liesse. Si l’évêque, Jacques II des Prés-Montpezat, peut revenir, il ne reste pas.
En 1570, la paix de Saint-Germain, signée entre le roi Charles IX et l’amiral Gaspard de Coligny, octroie aux Protestants 4 places fortes : La Rochelle, Cognac, Montauban et La Charité-sur-Loire. Une nouvelle enceinte est construite.
En 1598, Henri IV, ayant accordé par l'édit de Nantes des droits religieux aux protestants de France, garantit à ces derniers des "places de sûreté" au nombre de 51, plus des lieux de refuge. Montauban est une des principales places de sûreté concédées par le roi, avec Nîmes et La Rochelle. Elle acquiert ainsi le droit de se protéger en bâtissant et en entretenant des fortifications. Cette même année, une université protestante, l'Académie de Montauban et de Puylaurens, y fut installée. Daniel Chamier, célèbre pasteur drômois et rédacteur des articles secrets de l'édit de Nantes, y enseigna. Elle fut fermée en 1685, année de la révocation de l'édit de Nantes.
En 1621, le duc de Luynes, connétable de France qui mène la guerre contre les protestants, lève le siège de Montauban malgré une forte concentration d'artillerie. Pendant 96 jours, la ville sous l'égide du consul Jacques Dupuy est déterminée à résister au siège de l'armée royale. Elle aurait subi le feu nourri de 400 pièces dont le clocher de l'église Saint-Jacques garde encore quelques traces. L’historien Max Lagarrigue a démontré que cet épisode, connu comme "les Quatre Cents Coups de Montauban", est en partie légendaire.
Dernière citadelle et place de sûreté calviniste, Montauban engage des tractations avec Richelieu dès la prise de La Rochelle et se rend sans résistance le 20 août 1629 à l'armée royale, accueillant le monarque et son ministre aux cris de "Vive le roi, vive le cardinal". Les remparts sont détruits par l'autorité royale.
Montauban à la fin de l'Ancien Régime : La ville devient chef-lieu de la Généralité du Bas-Quercy en 1636. En 1661, elle reçoit une cour des aides. À l'instar du territoire qu'elle commande, son dynamisme industriel est remarquable. Dans le même temps, la population subit les Dragonnades (occupation des Régiments de Dragons chez l'habitant, à la suite de la Révocation de l'Édit de Nantes, en 1685). Ces persécutions n'empêchent pas qu'en 1700, elle compte environ 30 000 habitants (Toulouse en compte environ 48 000), 15 000 ouvriers textiles et 2000 ouvriers de minoteries en 1750. Afin de ré-implanter durablement le catholicisme dans la ville sont édifiés un nouveau palais épiscopal sur les ruines du château du Prince noir, une cathédrale de style classique en pierres de taille, un collège jésuite (l'Ancien Collège), et l'église Saint-Étienne de Sapiac. Montauban connait un vrai âge d'or et prend le visage qu'on lui connait encore aujourd'hui : les nombreux hôtels particuliers de style classique en brique rouge, la Place Nationale (rebâtie dans le style actuel après un incendie en 1614), le creusement du Canal du Midi (puis le canal de Montech), le cours Foucault. Les consuls autorisent l'implantation d'un théâtre sur l'emplacement actuel du théâtre Olympe de Gouges. Les tours fortifiées du Pont Vieux sont détruites et un arc de triomphe à la gloire du roi est édifié à l'extrémité du pont. De nouveaux quartiers prennent forme autour du centre ancien : Villebourbon (à dominante industrielle et artisanale), Villenouvelle.
En 1790, Montauban fait partie du département du Lot, et est chef-lieu d'un district, puis sous-préfecture à la création de l'administration préfectorale, en 1800. Le palais épiscopal est confisqué par les révolutionnaires et la ville l'acquiert aux enchères pour en faire son hôtel de ville.
XIXe siècle : C’est en 1808, année de la création du département de Tarn-et-Garonne par Napoléon Ier, que la ville devient préfecture de département. La même année, la Faculté de théologie protestante de Montauban y ouvre (à nouveau) ses portes pour former les pasteurs réformés. Ses enseignants les plus connus furent Jules Pédezert, Charles Bois, Émile Doumergue & Jean Monod. Elle est rattachée à l'Université de Toulouse jusqu'en 1906, puis devient autonome à cette date, du fait de la séparation des Églises et de l’État en 1905. Puis elle est transférée à Montpellier en 1919, devenant la Faculté de théologie protestante de Montpellier. Sa bibliothèque est divisée : la partie théologique revient à la faculté de Montpellier, tandis que la partie littéraire et humaniste, riche en ouvrages des XVe et XVIe siècles, est confiée à la Bibliothèque universitaire de Toulouse.
En 1809, Montauban fit partie des bonnes villes qui remplacèrent, sur leur blason, les fleurs de lys par trois abeilles, symbole de Napoléon.
La ville stagne économiquement et est fortement concurrencée par la Flandre, l'Angleterre et le Nord-pas-de-Calais dans la production de tissus. Malgré tout, Montauban profite de la croissance économique du second Empire puis de la Belle Époque, et la ville se modernise. De nouveaux quartiers s'étant installés sur les rives du Tarn (Villebourbon, Sapiac) les crues de 1766, 1870 et 1930 sont particulièrement destructrices alors que la vieille ville située en hauteur n'est pas touchée. Cependant des avenues, le long desquelles des immeubles viennent s’agglomérer, sont tracées : faubourg Lacapelle et faubourg du moustier notamment. Le musée Ingres est ouvert en 1851 et s'agrandit progressivement dans tout l'ancien palais épiscopal. De nouvelles églises de style néogothique sont édifiées dans les quartiers récents : Saint Orens à Villebourbon et Saint-Jean-Baptiste à Villenouvelle. Le quartier de Villenouvelle est relié au centre ancien par un nouveau pont, celui des consuls de style néo- médiéval, qui enjambe le ruisseau lagarrigue en 1898. Au Sud de ce nouveau pont, la place Lefranc devant le théâtre vient d'être agrandie et aérée. Une bibliothèque de style Beaux-arts est bâtie au cœur de la vieille ville en face du musée Ingres. Un riche particulier fait construire le château de Montauriol et son parc. L'hôtel de Préfecture est bâti. Villebourbon confirme son statut de quartier industriel, avec l'édification de deux moulins (sapiacou et glacière de palisse) et des biscuiteries Poult, bâtiment de style néo-mauresque. Le jardin des plantes est aménagé en 1861. Le réseau ferré français est en pleine essor : en 1856 le premier train de la ligne Bordeaux-Toulouse-Sète s'arrête à Montauban, en 1864 la gare de Montauban-Villenouvelle est ouverte aux voyageurs et en 1884 la nouvelle gare de Montauban-Villebourbon entre en service. À la fin de la période, quelques années avant la Première Guerre mondiale, un second pont est édifié sur le Tarn : le pont Neuf.
XXe siècle : Montauban est évidemment épargnée par les destructions de la guerre 14-18 qui ont lieu dans le Nord-Est de la France, mais perd de nombreux soldats dès les premiers jours du conflit : dans la forêt de Bertrix (Belgique), la 33e Division d'Infanterie, basée à Montauban, perd près de 2 400 hommes dans la seule après-midi du 22 août 1914 et en tout plus de 2 800 hommes avant la fin du mois. Un monument aux morts spectaculaire sera édifié par le sculpteur Bourdelle sur le cours Foucault.
On remarquera quelques bâtiments de style Art déco comme le bâtiment des postes (allée de l'Empereur) les anciennes halles (place Lalaque) ou les galeries Lafayette (hyper-centre). De façon plus classique et rappelant la place nationale, le Théâtre se voit doter d'une nouvelle façade22. La ville est desservie par les Tramways de Tarn-et-Garonne en service de 1913 à 1933.
À la fin de l'hiver 1929/1930, un épisode cévenol succède à plusieurs jours de pluie. Fin février 1930 le Tarn gonfle très sérieusement, et une crue dévastatrice ravage Montauban et Moissac début mars. Les secteurs de Villebourbon et de Sapiac sont complètement immergés. On dénombre plus de 200 décès et 3 000 logements détruits (dont la majeure partie sur Moissac et Montauban). Cette crue centennale, voire millénaire, sert de référence au plan de prévention des risques liés aux inondations. Montauban est touchée en 1996 par une autre crue de moindre importance. À la suite de cet événement, des digues et barrages sont bâtis en bordure du Tarn pour éviter et atténuer les effets dévastateurs d'une nouvelle crue.
Si dès la fin 1936, quelques centaines de familles espagnoles de réfugiés débarquent à Montauban pour fuir la guerre civile, ce sont des milliers de républicains qui transitent par la gare de Villebourbon avant de gagner le camp de Septfonds. Dans ce cortège, Manuel Azaña, président de la République espagnole "après avoir échappé à la Gestapo près du Pyla, parvient dans une ambulance à Montauban." Finalement mis en résidence surveillée dans une chambre de l'hôtel du Midi à la demande du gouvernement de Vichy, "Azaña à qui l'on refuse un exil au Mexique", meurt d'épuisement, le 3 novembre 1940. "Le préfet Durocher lui refuse des obsèques ostentatoires, la visite du maréchal Pétain deux jours à peine après ses obsèques n'y était, sans doute, pas étrangère".
Au même moment où le dernier président de la République espagnole découvrait la patrie d'Ingres et de Bourdelle, plusieurs dizaines de milliers de réfugiés de toute l'Europe du Nord, et en particulier des sujets belges y terminaient également leur course. "Carrefour, Montauban devenait un terminus pour ces milliers d'exilés qui avaient tout quitté pour ne pas revivre les horreurs et exactions allemandes de la Grande Guerre". Parmi ces réfugiés, "il y avait aussi Mona Lisa, La Joconde de Léonard de Vinci qui échappait au pillage et trouvait refuge avec toute une partie des collections du Louvre et du musée de Versailles dans les épais murs du musée Ingres". Sous la garde du futur académicien André Chamson, une plaque commémorative le rappelle au 30, rue de la Comédie.
Au printemps 1944, une partie du 4e régiment SS "Der Führer" de la division Das Reich y est cantonnée, avant d’être appelée en Normandie et de commettre de nombreuses exactions et massacres en route, dont celui d’Oradour-sur-Glane. Le père Leonid Chrol, pope dans la ville, convainc les soldats du Reich, Tchétchènes ou Ingouches pour la plupart, qu'ils quittent Montauban sans effusion de sang - car il parlait leur langue. À partir du 12 mai 1944, les 800 personnes raflées lors de l'opération de police de Figeac par la 2e division SS Das Reich sont emprisonnées dans le manège de l'ancien quartier de cavalerie. Les directeurs de l'office de placement de Cahors et de la ville se plaignent de la mauvaise qualité de la marchandise qui leur est livrée. Les Juifs ont rapidement le choix entre un camp de concentration en France ou le travail en Allemagne. Au 3e jour, après 48 heures sans nourriture, commencent les interrogatoires. 40 personnes qualifiées de terroristes sont torturées devant les autres détenus. Le 16 mai, les cadavres de 4 jeunes gens qui venaient d'être assassinés sont exposés. Les bourreaux s'acharnent particulièrement sur un jeune prêtre anglais capturé à Sousceyrac. Dans la nuit du 18 au 19, des asthmatiques, estimés en trop grand nombre, sont abattus. Le 21 mai, un convoi de femmes est dirigé vers la prison Saint-Michel de Toulouse, puis par wagon à bestiaux au camp de concentration de Ravensbrück. 200 hommes, étiquetés "terroristes", passeront par le camp de Compiègne vers les camps de Dachau, Oranienburg et Buchenwald. Les autres, qualifiés de travailleurs libres, sont dirigés vers l'Allemagne par la gare de l'Est à Paris et pourront être approchés par les figeacois de la capitale.
Pendant les trente glorieuses sont édifiés de nouveaux quartiers périphériques de lotissements et de résidences à l'Est, notamment les chaumes. Pendant la même période sont construits la piscine Chambord, le parc sportif de la Fobio, une nouvelle bibliothèque à l'Est de la ville puis les archives du musée Ingres. Deux zones industrielles et commerciales émergent à l’extrême Nord (Aussonne, Albanord) et à l’extrême Sud de la Ville (Albasud). Un troisième pont enjambant le Tarn est inauguré en 1970, le pont de Sapiac. La route nationale 20 devient progressivement l'autoroute A20. Après les années 1970, la ville s'étend, avec la constitution de hameaux (Fonneuve, Carreyrat, Saint-Martial, Falguières...) et la construction de nombreux lotissements en bordure de la ville.
XXIe siècle : De nouvelles infrastructures voient le jour à Montauban : salle de concert eurythmie sur l'ancien site de la gare Villenouvelle (2000), coulée verte sur l'ancienne ligne de chemin de fer (2002), médiathèque (2012), golf (2012), complexe aquatique (2013). Fermé à la navigation depuis 1990, le canal de Montech est rouvert en 2003.
En 2006, un incendie détruit le moulin de Sapiacou.
Le boulevard urbain Ouest est progressivement édifié à partir de 2010, avec notamment l'inauguration du pont de l'Avenir en 2011.
Montauban est d'ores et déjà desservie par les TGV, mais le réseau LGV n'arrivera pas à Montauban avant 2024. Le tracé de la ligne est déjà défini et une gare LGV devrait être bâtie au sud de la ville.

Source : Wikipédia

Les films tournés à Montauban

Les années 1970

LE VIEUX FUSIL

1975, France/Allemagne, Drame
Réalisé par Robert Enrico
Scénario de Robert Enrico, Pascal Jardin & Claude Veillot
Photographie d'Étienne Becker
Assistant caméra : François Catonné
Musique de François de Roubaix
Décors de Jean Saussac
Costumes de Corinne Jorry
Montage d'Eva Zora
Son de Bernard Aubouy
Durée 1 h 43

Avec Philippe Noiret, Romy Schneider, Jean Bouise, Joachim Hansen, Robert Hoffmann, Karl Michael Vogler, Caroline Bonhomme, Catherine Delaporte, Madeleine Ozeray...

Résumé : France, 1944. Alors que les troupes allemandes commencent à refluer devant l'offensive alliée, le chirurgien Julien Dandieu s'efforce avec ses collègues de maintenir tant bien que mal l'hôpital de Montauban. Il soigne les belligérants des deux camps et dissimule à l'occasion des personnes recherchées par les nazis. Comme les combats se rapprochent dangereusement, il convainc sa femme bien-aimée Clara de se réfugier avec leur fille Florence dans un lieu qu'il croit sûr : son château à la campagne. C'est là qu'il les retrouvera quelques jours plus tard, massacrées par les soldats allemands. Les assassins occupent toujours le château. Mais Dandieu, fou de douleur, se garde bien de les signaler à la Résistance quand l'occasion s'en présente, car il a d'autres projets...

Prix & Récompenses :

César 1976 : Meilleur film, meilleur acteur & meilleure musique.
David di Donatello 1976 : Meilleur acteur étranger.


Les années 2000

VOYANCE ET MANIGANCE

2001, France, Comédie
Réalisé par Eric Fourniols
Scénario d'Eric Fourniols
Photographie de Gérard de Battista
Musique de Nicolas Jorelle
Décors de Valérie Saradjian
Costumes de Claire Fraisse
Montage d'Anne Lafarge
Son d'Emmanuel Ughetto
Montage son de Jean-Pierre Halbwachs
Casting de Stéphane Foenkinos
Scripte de Michèle Andreucci
Durée 1 h 30

Avec Emmanuelle Béart, Dieudonné, Anémone, Serge Hazanavicius, Zinedine Soualem, Valérie Bonneton, Olivier Claverie, Boris Duponchel, Vincent Moscato, Anne Le Ny...

Résumé : Parce que sa petite amie l'a jeté, Frédéric, comédien sans cachet, est contraint de trouver refuge à Montauban chez Alban, son demi-frère. Ce dernier est médium et claque sans succès toutes ses importantes recettes dans les jeux de hasard. Parmi ses clientes, Jacqueline, modeste secrétaire à la sous-préfecture est convaincue par les vies antérieures de son fils décrites par Alban. Cette dernière incite Chantal, dont le mari vient de perdre son emploi, à consulter Alban. Ce dernier sentant une proie crédule lui prescrit une long traitement. Chantal est sceptique, mais toute une série de menus incidents couronnée par la blessure de son fils la persuade de la justesse de la malédiction décelée par Alban. D'autant que, conformément à ses dires, elle vient de rencontrer un galant. Les cérémonies de désenvoûtements s'enchaînent, coûtent cher et obnubilent Chantal qui repousse son mari qui trouve réconfort dans les bras d'Agnès, leur voisine bigote...


Les années 2010


2014, France/Allemagne, Comédie Dramatique
Réalisé par Pascal Rabaté
Scénario d'Antoine Pinson & Pascal Rabaté
Photographie de Benoît Chamaillard
Musique d'Alain Pewzner
Décors d'Angelo Zamparutti
Costumes de Virginie Alba
Montage de Jean-François Elie
Son de Frank Flies
Mixage de Eric Tisserand
Montage son de Jocelyn Robert
Scripte de Cécile Rodolakis
Durée 1 h 31

Avec Sami Bouajila, Isabelle Carré, Daniel Prévost, Zinedine Soualem, Talina Boyaci, Laura Genovino, David Salles, Charles Schneider, Jean-François Gallotte, Gustave Kervern...

Résumé : L’été arrive à Montauban, avec les vacances, les barbecues... et le "Triathlon de l’été", compétition populaire télédiffusée. Christian, divorcé et commercial aux petites combines, n’a d’autre joie que sa fille de 12 ans. Par amour pour elle et pour racheter tous ses petits mensonges, il accepte de participer à ce grand rendez vous sportif. Le jour où il rencontre Christine, mère célibataire et enceinte, tout semble concorder pour que Christian prenne un nouveau départ...