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Pau fait son cinéma
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Sa situation géographique

Pau est une commune française, préfecture du département des Pyrénées-Atlantiques située dans la région Aquitaine. Elle est la capitale du Béarn depuis 1464.
Le gentilé est Palois.
Pau se situe à un peu plus de 120 kilomètres de l'océan Atlantique (les plages de Ondres à 125 km et Tarnos à 124 km sont les plus proches) ainsi que Capbreton (110 km) et à 50 kilomètres des Pyrénées. L'Espagne — éloignée de cinquante kilomètres à vol d'oiseau — est facilement accessible, en 1 h 30 via Gan puis Oloron, par le col du Somport (1 631 mètres), et 1 h 15 via Gan puis Laruns, par le col du Pourtalet (1 794 mètres).
Sa localisation au pied des Pyrénées lui confère un panorama exceptionnel sur la chaîne des Pyrénées en particulier depuis le boulevard des Pyrénées, longue avenue de 1 000 mètres faisant face à la chaîne des Pyrénées, créée progressivement entre 1872 et 1900.
Pau est située à 195 kilomètres de Bordeaux (215 kilomètres par l'autoroute A65) et de Toulouse, 40 km de Tarbes et Lourdes, 31 km d'Oloron , 41 km d'Orthez et 25 km de Lacq.

Source : Wikipédia

Histoire de la ville

Moyen Âge : Pau est un castelnau fondé à une date inconnue, dans la deuxième moitié du XIe ou au tout début du XIIe siècle, pour contrôler un gué du gave qui servait au passage des bergers en transhumance entre les montagnes d'Ossau et les pâturages de la plaine du Pont-Long. Un château est bâti, dominant la rive nord, à égale distance de Lescar, siège des évêques, et de Morlaàs, capitale des vicomtes de Béarn.
Le nom de la ville apparaît au XIIe siècle. En 1188, Gaston VI de Béarn y réunit sa cour majour, ancêtre du conseil souverain. Au XIIIe siècle, Gaston VII de Béarn fait construire une troisième tour. Au XIIIe siècle, Gaston III de Foix-Béarn (Gaston Fébus) fait ajouter un donjon en briques rouges (la tour Billère), une enceinte fortifiée extérieure avec une tour de la Monnaie.
XVIe au XVIIIe siècle : En 1464, Gaston IV de Foix-Béarn, après avoir épousé l'Infante Éléonore d'Aragon, transfère sa cour d'Orthez à Pau. Pau devient ainsi la quatrième capitale historique du Béarn, après Lescar, Morlaàs et Orthez. La ville est dotée d'une charte communale ; des foires s'y déroulent, tout comme les États de Béarn. Il fait transformer les courtines du château en logis.
En 1512, elle devient capitale des rois de Navarre réfugiés au nord des Pyrénées après la prise de Pampelune par les Espagnols ; elle est dotée en 1520 d'un conseil souverain et d'une chambre des comptes.
En 1527, Henri d'Albret, roi de Navarre et vicomte souverain du Béarn, épouse Marguerite d'Angoulême, sœur de François Ier : elle fait transformer le château dans le style Renaissance et fait créer de magnifiques jardins.
En 1553, sa fille, Jeanne d'Albret, y accouche d'Henri III de Navarre en chantant un cantique béarnais à la Sainte-Vierge, afin que le futur Henri IV ne soit "ni peureux, ni rechigné". La légende dit que les lèvres du futur monarque furent baptisées avec du vin de Jurançon et de l'ail.
Les troupes de Charles IX prennent la ville, mais Jeanne d'Albret la reprend en 1569. Elle y massacre les chefs catholiques faits prisonniers à Orthez. Catherine de Bourbon, sœur d'Henri IV, y gouverne le Béarn à sa place.
En 1619, Pau se révolte. Louis XIII l'occupe et après avoir reçu la soumission de la place forte de Navarrenx prononce par l'édit du 20 octobre 1620 le rattachement du Béarn et de la Navarre à la France ; il transforme ainsi le conseil souverain du Béarn en Parlement de Navarre, regroupant les cours de Pau et de Saint-Palais.
Pau compte une nouvelle enceinte en 1649, puis une université en 1722.
Le 14 octobre 1790, elle est déclarée, après Navarrenx, nouveau chef-lieu du département des Basses-Pyrénées. Ce statut lui est enlevé le 11 octobre 1795 au profit d'Oloron-Sainte-Marie, puis définitivement rendu le 5 mars 1796.
XIXe siècle : Napoléon Ier manifeste son intérêt et contribue à sauver le château, un temps devenu prison. En 1838, Louis-Philippe le fait restaurer avec hardiesse, s'attachant à mettre en valeur les caractères médiéval et Renaissance. Napoléon III ajoute une double tour encadrant une fausse entrée, à l'ouest.
Après la Monarchie de juillet, Pau devient, entre 1830 et 1914, une des stations climatiques et sportives les plus réputées d'Europe occidentale. En 1842, le médecin écossais Alexander Taylor (1802-1879) y préconise la cure hivernale. Le succès de son ouvrage est important et Pau devient un lieu de villégiature prisé des Britanniques. En 1876, on recense à Pau 28 908 habitants. Les Anglais s'y installent et profitent du premier golf du continent, de la chasse au renard (Pau fox hunt) et des courses tenues sur l'hippodrome du Pont-Long. À partir des années 1870 le boulevard du Midi est progressivement prolongé vers l'Ouest et vers l'Est pour constituer l'actuel boulevard des Pyrénées, le somptueux palais d'hiver — doté d'un palmarium — et des hôtels de renommée internationale — le Gassion et le France — offrent un cadre luxueux et majestueux aux concerts et réceptions qui s'y déroulent.
À partir de 1894, Pau est desservi par un réseau de tramways à chevaux. Quelques années plus tard, la traction électrique est mise en service par la Société béarnaise des tramways urbains. Le réseau comprend 3 lignes, pour une longueur de 7 km. Il disparaîtra en 1931. La ville de Pau est desservie également par le chemin de fer de Pau-Oloron-Mauléon, dont la gare principale se trouve place de la République. 3 lignes desservent Monein, Pontacq et Lembeye. La traction à vapeur est utilisée sur ce réseau, qui disparaît en décembre 1931.
En même temps que la ville-haute prospère du fait de la venue des riches touristes européens, la ville-basse se spécialise dans l'industrie. De nombreuses petites structures se développent progressivement aux pieds du château, la production se concentre sur le textile et l'agro-alimentaire. Plusieurs d'entre elles ont marqué ce tissu industriel, comme les teintures Courriades, la minoterie Heïd ou encore l'usine des tramways.
XXe siècle : Au début du XXe siècle, Pau est toujours une ville de villégiature courue par la noblesse européenne pour y passer la saison hivernale. La bonne société anglaise, américaine, russe, espagnole ou prussienne se côtoie au sein de la cité béarnaise. De nombreux équipements publics sont issus de cette période, avec notamment le funiculaire de Pau pour relier la gare à la ville haute. À côté de ces aménagements publics, les visiteurs étrangers fortunés font construire des villas pour améliorer les conditions de leurs séjours. Tout d'abord réalisées au centre-ville, ces demeures s'écartent de plus en plus pour profiter du grand air et de la vue si prisée sur les Pyrénées. Entre 1850 et 1910, de nombreuses résidences sont ainsi construites et évoquent toujours aujourd'hui le faste de cette période. Cette période dorée du tourisme climatique palois s'arrête brusquement lors du déclenchement de la guerre 14-18.
Les premiers vols en ballon ont lieu à Pau en 1844 et les premiers vols en avion, à partir de 1909, année au cours de laquelle les frères Wright transfèrent à Pau (sur la lande du Pont-Long, commune de Lescar) la première école d'aviation qu'ils avaient ouverte initialement au Mans pour y former les 3 élèves pilotes qu'ils s'étaient engagés à former en France. Pau accueille les seuls 7 constructeurs mondiaux d'avions jusqu'en 1914 et devient la capitale mondiale de l'aviation. L'école militaire d'aviation, qui forme les as de la Première Guerre mondiale, puis l'école de chasse de France, s'y installent. Y volent les Français Thénault, Simon, Codos, Bellenger, Garros, Nungesser, Guynemer, les Béarnais Artigau et Macé parmi tant d'autres et côté Américains Lufbery, Thaw, Chapman, les frères Prince, Mc Connell, parmi les plus illustres.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, l’hôtel Continental recueille de nombreux réfugiés, dont des juifs traqués par Vichy et les nazis, même lorsque les militaires de la Wehrmacht réquisitionnent deux étages de l'hôtel.
À partir de 1947, durant les 4 mandats du maire Louis Sallenave, la ville de Pau connaît un fort développement. En 1957, l'exploitation du gisement de gaz de Lacq, découvert en 1951, donne un nouvel essor à toute la région avec le développement industriel du Béarn et de la région de Lacq, la population de la ville doublant en 20 ans. Des grands projets d'infrastructures sont réalisés : construction de plusieurs établissements scolaires représentant plus de 100 classes, création de l'aéroport de Pau-Uzein en 1955 (devenu aéroport Pau-Pyrénées) pour moderniser le vieil aérodrome de Pau-Pont-Long (sur la commune de Lescar), création de logements sociaux (ensemble de l'Ousse des Bois en 1961, opération Dufau-Terrasse à partir de 1962), création du centre des expositions, création de l'Université de Pau et des Pays de l'Adour, construction d'un deuxième pont sur le Gave à Jurançon. Un vaste schéma d'urbanisme permet l'extension de la commune vers le Nord grâce à la "coulée verte". La configuration de la ville va peu bouger à partir de la fin des années 1960. La renommée et le prestige de la ville augmente grâce à la conférence des états indochinois de juin à novembre 1950, à des visites de chefs d'État comme le président Charles de Gaulle en février 1959 ou le premier secrétaire Nikita Khrouchtchev en déplacement à Lacq en 1960.
André Labarrère, maire de 1971 à 2006, travaille dans un premier temps à l'embellissement de la ville. Dans le cadre de ses derniers mandats, en périphérie, le pôle universitaire s'étoffe et l'agglomération Pau-Pyrénées est l'une des premières de France à se doter d'un réseau de fibre optique, infrastructure offrant un accès internet à très haut débit tant aux particuliers qu'aux entreprises. Des équipements nouveaux sont créés, notamment sportifs, tels le Zénith, le palais des sports, le Jaï Alaï, et le stade d'eau vive. La ville se dote d'un important pôle de santé. L'hippodrome et l'aéroport sont rénovés. Le centre-ville a lui aussi connu d'importants bouleversements avec la réhabilitation du Palais Beaumont et la construction d'un nouveau centre commercial privé dénommé "centre Bosquet". Pau se lance enfin dans la restitution aux piétons de son centre avec la reconfiguration de son réseau d'autobus, la rénovation de la place Clemenceau, place centrale de Pau, et la réhabilitation du "palais des Pyrénées", nouveau centre commercial en centre-ville, à proximité de la place Clemenceau. Un nouveau parking souterrain compense la suppression de 400 places de stationnement en surface ; par ailleurs deux parcs souterrains de stationnement verront leurs accès repensés. Enfin, une médiathèque voit le jour en 2012 dans le quartier des Halles.
XXIe siècle : En 2008, à l'issue d'un âpre combat politique l'opposant notamment à François Bayrou, Martine Lignières-Cassou devient maire de Pau. Durant sa mandature, elle reconstruit notamment le stade nautique et rend piétonne la rue Joffre. Elle permet également la réalisation de la Cité des Pyrénées qui rassemble en un seul lieu différentes associations liées au pyrénéisme.
En 2014, François Bayrou devient maire.

Source : Wikipédia

Les films tournés à Pau

Les années 2000

L'AVION

2005, Fantastique, France/Allemagne
Réalisé par Cédric Kahn
Scénario de Cédric Kahn, Ismaël Ferroukhi, Gilles Marchand, Raphaëlle Valbrune & Denis Lapière d'après la bande dessinée "Charly" de Magda Seron & Denis Lapière
Photographie de Michel Amathieu
Musique de Gabriel Yared
Décors d'Arnaud de Moleron
Direction artistique d'Etienne Rohde
Costumes de Pascaline Chavanne
Montage de Noëlle Boisson
Mixage de Pierre Gamet
Montage son de Francis Wargnier
Casting d'Antoinette Boulat
Scripte d'Élodie Van Beuren
Durée 1 h 40

Avec Roméo Botzaris, Isabelle Carré, Vincent Lindon, Nicolas Briançon, Alicia Djemaï, Marc Sedze, Mado Sedze, Rodolphe Pauly, Sophie Guillemin...

Résumé : Le soir de Noël, alors que chacun déballe avec joie ses cadeaux, Charly, petit garçon de huit ans, découvre avec grande déception une immense maquette d'avion, alors qu'on lui avait promis un vélo. Patrick, son père, meurt peu après, sans avoir eu le temps de remplir la promesse qu'il avait faite à son fils. Mais la tristesse laisse vite la place à l'émerveillement lorsque Charly découvre que sa maquette n'est pas ordinaire : son avion est "vivant" ! Il part alors dans une folle aventure, avec son nouvel "ami", afin de retrouver son père pour le remercier pour ce cadeau inespéré !...

DÉSOBÉIR - ARISTIDES DE SOUSA MENDES

2009, France, Téléfilm
Réalisé par Joël Santoni
Scénario de Jean-Carol Larrivé, Joël Santoni & José-Alain Fralon d'après une idée originale de Martine Chicot
Photographie de Jean-Francis Gondre
Musique de Serge Franklin
Décors de Laurence Brenguier
Costumes d'Agnès Nègre
Montage de Nicole Saunier
Casting de Marie-Christine Lafosse
Durée 1 h 40

Avec Bernard Le Coq, Paulo Matos, Roger Souza, Nanou Garcia, Lionel Lingelser, Émilie-Scarlett Moget, Frédéric Quiring, Frédéric Kneip, Christian Loustau, Jean-Claude Dauphin (Voix)...

Résumé : En Europe, devant l’avancée des troupes du Reich, Bordeaux vit une arrivée massive de réfugiés. La France de 1940 est face à la défaite militaire, à l'exode des populations civiles, à la perte de ses repères culturels, religieux, civiques, patriotiques et à la peur du nazisme qui déferle sur le sol national et précipite l'Europe dans le chaos. Toutes les populations en danger, souhaitent obtenir un visa pour le Portugal. Devant le consulat de Bordeaux, comme ailleurs en France, on fait la queue pour obtenir ce précieux sésame pour la liberté. Les sympathies de Salazar, pour le nazisme l’inclinent à interdire à sa représentation diplomatique à l'étranger de délivrer ces fameux visas. Aristides de Sousa Mendes, consul de 1re classe du Portugal à Bordeaux, représente son pays, certes dirigé par un dictateur, Salazar, mais neutre au regard du conflit mondial. Il est chrétien, humaniste, mais aussi haut fonctionnaire, représentant d'un État auquel il doit, bien entendu, une obéissance sans réserve. Peut-il passer outre la circulaire N° 14 qui lui enjoint de refuser l'accès de son pays à ces pauvres gens et ainsi de les précipiter dans la mort alors que sa conscience l'oblige à désobéir à des ordres qui ne sont pas certes illégaux, mais immoraux et inhumains ? Il est payé pour obéir, pour être loyal, c'est ce que lui rappelle son 1er secrétaire...

Les années 2010


2014, France, Drame
Réalisé par Robin Campillo
Scénario de Robin Campillo & Gilles Marchand
Photographie de Jeanne Lapoirie
Musique d'Arnaud Rebotini
Décors de Dorian Maloine
Costumes d'Isabelle Pannetier
Montage de Robin Campillo
Son de Jean-Pierre Laforce, Olivier Mauvezin & Valérie Deloof
Casting de Sarah Teper Leila Fournier & Patricia Guyotte
Scripte d'Ania Svetovaya
Durée 2 h 08

Avec Olivier Rabourdin, Kirill Emelyanov, Daniil Vorobyov, Edéa Darcque, Bislan Yakhiaev, Mohamed Doukouzov, Camila Chakirova, Aitor Bourgade...

Résumé : Daniel aborde Marek dans une gare parisienne où ce dernier traine avec sa bande. Il lui propose de le retrouver chez lui le jour suivant. Mais lorsque Daniel ouvre la porte de son appartement le lendemain, il est loin d’imaginer le piège dans lequel il s’apprête à tomber et qui va bouleverser sa vie...

Prix & Récompenses : Festival de Venise 2013 : Prix Venise horizon.


2013, France, Drame
Réalisé par Jean Denizot
Scénario de Jean Denizot, Frédérique Moreau & Catherine Paillé
Photographie d'Elin Kirschfink
Musique de Luc Meilland
Costumes d'Agnès Noden
Montage d'Aurélien Manya
Son de Marie-Clotilde Chéry
Mixage de Mélissa Petitjean
Montage son de Jocelyn Robert
Casting de Tatiana Vialle
Scripte de Claire Dumaze & Elise Romestant
Durée 1 h 33

Avec Zacharie Chasseriaud, Nicolas Bouchaud, Jules Pélissier, Solène Rigot, Jean-Philippe Écoffey, Maya Sansa, Cédric Vieira, Christèle Tual...

Résumé : Yves vit dans la clandestinité avec ses fils, Sylvain et Pierre. Il y a 10 ans, il les a soustraits à leur mère à la suite d'une décision de justice. Mais les garçons grandissent et la cavale sans fin les prive de leurs rêves d'adolescents. Caché sur une île de la Loire, Sylvain, le cadet, rencontre Gilda : premiers regards, premier amour et première étape sur le chemin de la belle vie, la sienne...


2017, France/Portugal, Drame
Réalisé par F.J. Ossang
Scénario de F.J. Ossang
Photographie de Simon Roca
Musique de Jack Belsen & Messagero Killer Boy
Décors de Rafael Mathé
Costumes de Karin Charpentier
Montage de Walter Mauriot
Son de Julien Cloquet
Mixage de Julien Cloquet
Montage son de Vasco Pimentel
Scripte d'Elvire
Durée 1 h 39

Avec Paul Hamy, Damien Bonnard, Pascal Greggory, Gaspard Ulliel, Susana Afonso Lopes, Diogo Dória, Elvire, Lisa Hartmann...

Résumé : Magloire, sort fumer une cigarette, la nuit, dans une gare où tous les trains sont arrêtés. Tout se précipite, lors d'un contrôle de police. Il prend la fuite tel quel sans bagage, sans avenir et tombe sur un homme mourant. Il hérite d'un paquet d'argent tandis que l'autre agonise, mais les ennuis commencent : une bande est à ses trousses, dont il finit otage, puis complice car Magloire s'arrange de tout comme un être que rien n'attend...

Prix & Récompenses : Festival de Locarno 2017 : Meilleur réalisateur.


Né(e)s à Pau

Compositeur


Philippe Rombi
Né le 3/04/1968