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Alençon fait son cinéma
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Sa situation géographique

Alençon est une commune française, préfecture du département de l’Orne (61), située en région Normandie.
Plus grande commune de l'Orne avec 26 028 habitants, Alençon était la 3e (après Caen et Cherbourg) de l'ancienne région Basse-Normandie, mais n'est plus depuis 2016 que la 9ème de la Normandie unifiée.

Source : Wikipédia

Histoire de la ville

Origine de la ville : De simple gué sur la Sarthe à l’époque gallo-romaine, Alençon apparaît comme "bourg fortifié" au début du XIe siècle avant d’être érigée en duché deux siècles plus tard. Au XVe, la ville doit beaucoup à l’action, à la fois politique et spirituelle de Marguerite de Lorraine, veuve du duc d’Alençon.
Alençon, domaine royal : Au XVIe siècle, la ville est rattachée au domaine royal, après la mort de Marguerite de France (1492-1549) plus connue sous le nom de Marguerite de Navarre. Sœur de François 1er, elle épouse le duc Charles IV en 1509. Elle s’installe alors dans le château d’Alençon avec son mari et sa belle-mère, Marguerite de Lorraine. La duchesse tient alors à Alençon une cour exceptionnelle où brillent les plus grands esprits du moment.
Alençon et la réforme : Première ville acquise aux idées calvinistes, Alençon devient rapidement un foyer de la Réforme. Les protestants s’emparent de la ville, saccagent les églises et interdisent le culte catholique. Les Alençonnais réformés fuient, et immigrent vers l’Angleterre, les Pays-Bas ou les îles Anglo-Normandes.
Un savoir-faire naissant : la manufacture de dentelle : En 1665, Colbert fonde les Manufactures royales de dentelle dont celle du très célèbre Point d’Alençon, créé à partir du Point de Venise. Alençon employa, à l’apogée de son art, plus de huit mille dentellières.
Une ville en perpétuelle évolution : Au XVIIIe siècle, la ville se développe et assiste à la naissance d’un nouveau quartier dont l’hôtel de ville est le symbole. À la Révolution, Alençon connaît des mouvements populaires et quelques troubles religieux en 1792.
En 1811, Alençon reçoit Napoléon 1er. Le souverain décide la construction du palais de justice, inauguré en 1827.
Au cours du XIXe siècle, la ville est en plein essor industriel, l’imprimerie y est florissante. Elle sera d’ailleurs à l’origine d’un procès retentissant. Auguste Poulet-Malassis, éditeur et ami de Charles Baudelaire, est issu d’une lignée d’imprimeurs alençonnais. En 1857, il édite les Fleurs du Mal. Condamnés chacun à une amende pour outrage aux bonnes mœurs et immoralité, auteur et éditeur doivent supprimer six pièces du recueil. Honoré de Balzac se servira également de son séjour à Alençon pour écrire deux romans : "La vieille fille" en 1837 et "Le cabinet des Antiques" en 1838.
En 1873, Thérèse Martin naît à Alençon. Elle deviendra sainte Thérèse de l’Enfant Jésus, plus connue sous le nom de sainte Thérèse de Lisieux.
Au XXe siècle, Alençon poursuit son essor industriel et devient un des bastions de Moulinex, dont l’usine alençonnaise est créée en 1937 par Jean Mantelet, inventeur du "Moulin-Légumes".
La libération d’Alençon : Pendant la Seconde Guerre mondiale, Alençon subit l’occupation allemande. Le 12 août 1944, la libération de la ville par la 2e Division Blindée du général Leclerc est l’un des épisodes de la bataille de la poche de Falaise-Mortain, contre-offensive allemande au débarquement allié de juin 1944.
Alençon, aujourd’hui : une ville qui vit en rythme avec son époque : Aujourd’hui, préfecture de l’Orne, Alençon compte plus de 30 000 habitants et constitue la ville centre de la Communauté urbaine d’Alençon, comprenant 52 000 habitants. Epargnée par les bombardements de 1944, Alençon est une ville à taille humaine et au cadre de vie privilégié. La dentelle au Point d’Alençon, désormais symbole d’excellence et d’image, guide Alençon dans la définition de son avenir : le pôle de plasturgie, les infrastructures haut débit, la préservation du patrimoine et de l’environnement.

Source : Site de la Maire d'Alençon

Les films tournés à Alençon

Les années 1980

LE CORBILLARD DE JULES

1982, France, Comédie
Réalisé par Serge Pénard
Scénario d'Alphonse Boudard & Maurice Fasquel
Photographie de Jean-Claude Rivière
Musique de Georges Garvarentz
Montage de Robert Isnardon
Son d'Alain Contrault
Durée 1 h 35

Avec Aldo Maccione, Francis Perrin, Jean-Marc Thibault, Henry Courseaux, Cheik Doukouré, Rebecca Potok, Bill Dunn, Jacques Martial, Philippe Nicaud, Henri Guybet, André Pousse, François Dyrek, Fanny Bastien...

Résumé : Jules est mort en 1944 au Champ d'honneur et son père vient le chercher pour l'enterrer au pays natal. Deux soldats, Alphonse et Aldo accompagnent la camionnette mortuaire. La route va être parsemée d'aventures...